lundi 11 mai 2009

De ces rêves

Voilà une semaine,
Une semaine que je rêve,
Que je fais des rêves.

De ces rêves sales,
Sales et chaud, brûlant, qui irritent la peau.
Je me réveille en sueur

C'est toujours la même histoire.
Tu es là, lui aussi.
Et ensemble, vous partez.

Vous partez loin et je ne vous trouve pas.

Et je me réveille en sueur.

Je ne sais plus quoi lui dire.

Vivement Jeudi, que je te vois.

Vivement Dimanche, que je le vois

samedi 2 mai 2009

Lui

Il faudrait que je te parle de lui.

De lui, de tout.

De ses yeux, de son sourire.

Son sourire qui tremble quand je le vois,
Je me tords les doigts,

Quand je le vois, je me dis qu'il y a un là-bas.

Qui ne me ressemble pas.

Tu devrais le voir,
Il comme un super-héros, avec sa peau,
Si tu voyais comme il est beau.

Je l'aime, et ses lèvres tremble à l'eau,
Les yeux qui nous mentent et me disent des
Choses que j'aime.

Je voudrais, je le crois,
Qu'il soit ici avec moi.
Tu vois, il est comme ça,

Que ce fût doux de le voir
Comme ça hier soir
Sur un bout de trottoir,

"Que ce fût doux
De pouvoir parler avec vous
Mes yeux dans votre cou"

Je vous aimes, que je lui crirais encore,
Jusqu'à avoir son corps

"Laisse moi dire à tout le monde
Que tu es le plus beau
Que si la terre est ronde
Ce que tu en es le noyeau"

Ecris à San Francisco,
Sur les yeux de Daho.

Oh tu vois que je l'aime,
Que je suis toujours un peu plus fou,
Qu'il est mon terrible poème
Que je porte ses bisous comme des bijoux sur mon cou.


Tu es la plus belle