Je ne suis pas régulier dans ces lettres.
Je sais.
La nuit ressemble au café qui a ce goût si particulier.
Je pense à mon inconstance et à mes nuits qui s'enchaîne.
Je devrais re-faire de la danse.
Que veux tu, je suis comme ça, j'aime que l'on me prenne par la main.
L'Islande c'est aussi un livre que je lis, je t'en parlerais peut être plus tard.
J'ai menti sur des tas de choses, sur des textes qui te sont adressés.
Mais je t'ai dit 'No, I wrote them for some others people'
Je n'aime pas dire que j'écris. Ecrire, ça ne veut rien dire. C'est prétentieux.
C'est odieusement prétentieux.
Je danse, ça veut dire que je travaille, que je sue, que j'en bave, que le matin je me lève pour aller danser.
J'écris, c'est juste rien. S'asseoir et oser dire que c'est dur. Fumer des cigarettes, ne jamais vraiment bosser.
C'est pas grand chose. Ecrire, c'est rien que de la prétention pour ne rien faire.
Et j'ai envie de faire quelque chose.
Bref, it sucks.
Toi + Moi + Une autre fois.
Ps : Je pense que je me tort trop le ventre en ce moment.
jeudi 1 octobre 2009
lundi 11 mai 2009
De ces rêves
Voilà une semaine,
Une semaine que je rêve,
Que je fais des rêves.
De ces rêves sales,
Sales et chaud, brûlant, qui irritent la peau.
Je me réveille en sueur
C'est toujours la même histoire.
Tu es là, lui aussi.
Et ensemble, vous partez.
Vous partez loin et je ne vous trouve pas.
Et je me réveille en sueur.
Je ne sais plus quoi lui dire.
Vivement Jeudi, que je te vois.
Vivement Dimanche, que je le vois
Une semaine que je rêve,
Que je fais des rêves.
De ces rêves sales,
Sales et chaud, brûlant, qui irritent la peau.
Je me réveille en sueur
C'est toujours la même histoire.
Tu es là, lui aussi.
Et ensemble, vous partez.
Vous partez loin et je ne vous trouve pas.
Et je me réveille en sueur.
Je ne sais plus quoi lui dire.
Vivement Jeudi, que je te vois.
Vivement Dimanche, que je le vois
samedi 2 mai 2009
Lui
Il faudrait que je te parle de lui.
De lui, de tout.
De ses yeux, de son sourire.
Son sourire qui tremble quand je le vois,
Je me tords les doigts,
Quand je le vois, je me dis qu'il y a un là-bas.
Qui ne me ressemble pas.
Tu devrais le voir,
Il comme un super-héros, avec sa peau,
Si tu voyais comme il est beau.
Je l'aime, et ses lèvres tremble à l'eau,
Les yeux qui nous mentent et me disent des
Choses que j'aime.
Je voudrais, je le crois,
Qu'il soit ici avec moi.
Tu vois, il est comme ça,
Que ce fût doux de le voir
Comme ça hier soir
Sur un bout de trottoir,
"Que ce fût doux
De pouvoir parler avec vous
Mes yeux dans votre cou"
Je vous aimes, que je lui crirais encore,
Jusqu'à avoir son corps
"Laisse moi dire à tout le monde
Que tu es le plus beau
Que si la terre est ronde
Ce que tu en es le noyeau"
Ecris à San Francisco,
Sur les yeux de Daho.
Oh tu vois que je l'aime,
Que je suis toujours un peu plus fou,
Qu'il est mon terrible poème
Que je porte ses bisous comme des bijoux sur mon cou.
Tu es la plus belle
De lui, de tout.
De ses yeux, de son sourire.
Son sourire qui tremble quand je le vois,
Je me tords les doigts,
Quand je le vois, je me dis qu'il y a un là-bas.
Qui ne me ressemble pas.
Tu devrais le voir,
Il comme un super-héros, avec sa peau,
Si tu voyais comme il est beau.
Je l'aime, et ses lèvres tremble à l'eau,
Les yeux qui nous mentent et me disent des
Choses que j'aime.
Je voudrais, je le crois,
Qu'il soit ici avec moi.
Tu vois, il est comme ça,
Que ce fût doux de le voir
Comme ça hier soir
Sur un bout de trottoir,
"Que ce fût doux
De pouvoir parler avec vous
Mes yeux dans votre cou"
Je vous aimes, que je lui crirais encore,
Jusqu'à avoir son corps
"Laisse moi dire à tout le monde
Que tu es le plus beau
Que si la terre est ronde
Ce que tu en es le noyeau"
Ecris à San Francisco,
Sur les yeux de Daho.
Oh tu vois que je l'aime,
Que je suis toujours un peu plus fou,
Qu'il est mon terrible poème
Que je porte ses bisous comme des bijoux sur mon cou.
Tu es la plus belle
vendredi 6 mars 2009
Changement
Te voilà, malade, malade et fatiguée.
Me voilà, changeant, plus et sans cesse.
J'évolue, je me transforme. Surtout, je me calme.
De loin en loin, doucement, je me vois grandir. Je verrais vingt ans, sain et serein.
Me voilà, doux et heureux d'être là. Malgré le froid et le silence.
Tant de bonheur et de fatigue.
Je t'aime et t'embrasse
Moi pour Toi
Me voilà, changeant, plus et sans cesse.
J'évolue, je me transforme. Surtout, je me calme.
De loin en loin, doucement, je me vois grandir. Je verrais vingt ans, sain et serein.
Me voilà, doux et heureux d'être là. Malgré le froid et le silence.
Tant de bonheur et de fatigue.
Je t'aime et t'embrasse
Moi pour Toi
samedi 21 février 2009
A titre de Dingue
J'ai envie de vomir.
Et je ne dors plus. Plus d'arrêt ni de stop.
Un fourmillement dans le ventre me dit qu'une jolie rencontre serait entrain de se faire. Un autre fourmillement me dit le contraire.
Le sentiment d'être toujours trop blasé.
Et surtout, comme un cercle vicieux, l'impression que c'est le fait d'être blasé qui me blase le plus.
Je n'arrive plus à dormir. Je suis toujours fatigué. Tu vois, quand ce n'est pas l'un, c'est l'autre.
Quant aux autres, l'un focalise sur un autre et l'autre semble évanescent.
Je t'aime, t'embrasse et espère que je te manque
Et je ne dors plus. Plus d'arrêt ni de stop.
Un fourmillement dans le ventre me dit qu'une jolie rencontre serait entrain de se faire. Un autre fourmillement me dit le contraire.
Le sentiment d'être toujours trop blasé.
Et surtout, comme un cercle vicieux, l'impression que c'est le fait d'être blasé qui me blase le plus.
Je n'arrive plus à dormir. Je suis toujours fatigué. Tu vois, quand ce n'est pas l'un, c'est l'autre.
Quant aux autres, l'un focalise sur un autre et l'autre semble évanescent.
Je t'aime, t'embrasse et espère que je te manque
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